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Politique Quantique & Poésie Intemporelle.over-blog.com

poésie, politique, porcherie, pommade, polémique

Saleté de migrants

Alors, une fois pour toutes, je vais en parler de ces putains de migrants qui nous polluent la vie, qui font qu’il devient impossible d’ouvrir un journal sans tomber sur un article nous décrivant le long calvaire de certains d’entre eux qui veulent venir chez nous à toutes forces, les Syriens particulièrement. Le pire, c’est que pendant qu’on parle d’eux, on n’a pas le temps de parler d’autre chose. Aucune nouvelle depuis deux jours de l’état de santé moral de Laura Smet ! Deux jours ! Vous vous rendez compte ? Pas mèche de savoir si Kaaris et Booba se sont réconciliés. Rien de rien, tout ça à cause de ces enculés de migrants.

 

Messieurs les journalistes, faites votre travail en ne le faisant pas. Arrêter de nous parler de gens qui crèvent ou qu’on bombarde. Cela n’intéresse personne. Parlez-nous des Diables Rouges, d’une étude comparative entre deux marques de tampons, de l’iPhone de demain, des facéties de Donald Trump, de n’importe quoi mais, plus de ça.

 

Et puis d’abord, ces migrants ne méritent pas qu’on s’y intéresse. Ce sont des lâches, de sales foutus lâches qui refusent de mourir pour leur patrie, leurs convictions, leurs enfants. Ce sont des salauds qui veulent vivre quand d’autres meurent. Si nous, en quarante, on avait fait pareil, et bien les Boches auraient conquis l’Europe. Quoi ? On a fui ? Oui, un peu, je ne dis pas, mais nous, on s’est arrêté à la Méditerranée ! On ne l’a pas lâchement traversée pour aller emmerder les pays d’Afrique du Nord ! On n’est pas allé demander de l’aide à la Tunisie ! Ah oui, j’oubliais, elle était envahie aussi. Soit. On a fui moins loin qu’eux donc nous on n’est pas des lâches.

 

Et ne perdons pas de vue, mon bon monsieur, que quand ils arrivent chez nous, c’est pour nous voler notre travail. Pour aller cueillir des tomates dans des plantations pour un tarif de deux euros de l’heure ! Pendant ce temps-là, dans nos rues, il y a des gens bien blancs, bien cathos qui meurent de faim et qu’on n’aide pas. Alors, pourquoi aller aider ces pauvres types qui ne parlent même pas correctement notre langue ?

 

Et ne perdons pas non plus de vue, mon toujours bon monsieur, que ces gens-là ne viennent pas chez nous pour travailler mais pour profiter du système, palper des allocs, s’enfouiller des aides sociales, se goinfrer de colis alimentaires, être logés gratos et violer nos femmes. Nos femmes ! Comme si on n’était pas capable de les violer nous-mêmes enfin quoi, merde ! Non, toutes ces races, c’est fainéants et compagnie.

 

Et les attentats, hein ? Qui c’est qui les commet les attentats ? Des catholiques peut-être ? Des protestants ? Des juifs ? Non, c’est toujours commis par des mecs qui s’appellent Abdel, Mohamed ou Ali ! Même Mesrine, s’il est devenu un criminel c’est parce qu’il sympathisait avec les Palestiniens, sinon il aurait été quincaillier le Jacquot ! Et dites-moi comment ils rentrent chez nous ces terroristes ? Et voilà, avec les migrants. N’ayons pas peur des chiffres, la moitié d’entre eux sont des terroristes, l’autre moitié des paresseux et la dernière moitié des voleurs et violeurs. Je ne vous parlerai même pas de la quatrième moitié de dégénérés ne sachant ni lire, ni compter.

 

Vous avez vu dans nos prisons ? Il y a quoi dans nos prisons ? Des prisonniers, oui, voilà. Des pri-son-niers. Ah ah, vous voyez ? Quoi ? Oui, des prisonniers majoritairement arabes ! Des Beurs, des Ratons, tout ça. Vous avez déjà vu un Esquimaux emprisonné chez nous, vous ? Ou un Lapon ? Ca prouve bien que nous ne sommes pas fait pour vivre ensemble et posons-nous la question : sont-ils fait pour vivre ? D’ailleurs, la preuve en est que ceux qui les tuent, ce sont des Arabes aussi. Nous, nous ne leur faisons pas de mal, nous les laissons seulement crever.

 

Tous les hommes sont mes frères mais il ne faut pas non plus exagérer. Vous m’avez bien regardé ? Je n’ai pas la même tronche qu’un Bougnoul ou qu’un Arabe ou qu’un Chinetoque. Si nous sommes frères, ce n’est pas du même père en tous cas. Si on tient bien le cap, on va pouvoir résoudre le problème de la surpopulation.

 

Mais ne croyez pas que je sois raciste, loin de moi cette idée. J’ai même failli être ami avec un type dont un arrière-grand-père était Portugais. C’est quand même un signe. Et ne croyez pas non plus que je sois insensible à la misère. Par exemple, je ne supporte pas que l’on fasse du mal aux ragondins. Oui, j’avoue, j’ai un petit faible pour les ragondins. C’est sans doute parce que je suis un homme de cœur.

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